Très vite, cette force va prendre une place très importante dans le conflit yougoslave et va se voir assigner au fur et a mesure des responsabilités de plus en plus grandes.
C’est alors que peu après sa création en février, son mandat fut élargi et qu’elle du se charger de surveiller d’autres zones de la Croatie, ainsi que d’autre actions militaires. (Contrôle aux frontières…). Elle à, entre autres, fait imposer le respect d’un cessez-le-feu, signé par le Gouvernement Croate et les autorités serbes locales en 1994.
En juin 92, une nouvelle fois, son mandat a encore pris de l’ampleur, le conflit ayant atteint la Bosnie-Herzégovine. Elle devait, cette fois ci, entre autre, veiller à la sécurité de l’aéroport de Sarajevo, et, acheminer l’aide humanitaire à la ville et ses alentours. Un dernier élargissement de son mandat a été fait, et était assez sommaire.
La FORPRONU était autorisée à recourir à la force en cas d’attaque des « zones de sécurité », dont elle avait la surveillance. Elle pouvait entre autre coordonner ces attaques avec l’OTAN. Tous ces arrangements ont été ensuite étendus au territoire croate.
Cette force a également du veiller à deux accords de cessez-le-feu signé par le Gouvernement croate en 1994 et 1995, respectivement avec les croates de Bosnie, puis avec les forces serbes de Bosnie.
Si l’on résume son rôle, il avait pour objectif de surveiller l’évolution de la situation dans cette zone de conflit et signaler tout événement suspect pouvant interférer avec la stabilité du gouvernement en place à l’époque.
Le 31 mars 1995, le Conseil de sécurité a décidé de restructurer la FORPRONU et de la remplacer par trois opérations de maintien de la paix distinctes mais reliées entre elles.
C’est alors que peu après sa création en février, son mandat fut élargi et qu’elle du se charger de surveiller d’autres zones de la Croatie, ainsi que d’autre actions militaires. (Contrôle aux frontières…). Elle à, entre autres, fait imposer le respect d’un cessez-le-feu, signé par le Gouvernement Croate et les autorités serbes locales en 1994.
En juin 92, une nouvelle fois, son mandat a encore pris de l’ampleur, le conflit ayant atteint la Bosnie-Herzégovine. Elle devait, cette fois ci, entre autre, veiller à la sécurité de l’aéroport de Sarajevo, et, acheminer l’aide humanitaire à la ville et ses alentours. Un dernier élargissement de son mandat a été fait, et était assez sommaire.
La FORPRONU était autorisée à recourir à la force en cas d’attaque des « zones de sécurité », dont elle avait la surveillance. Elle pouvait entre autre coordonner ces attaques avec l’OTAN. Tous ces arrangements ont été ensuite étendus au territoire croate.
Cette force a également du veiller à deux accords de cessez-le-feu signé par le Gouvernement croate en 1994 et 1995, respectivement avec les croates de Bosnie, puis avec les forces serbes de Bosnie.
Si l’on résume son rôle, il avait pour objectif de surveiller l’évolution de la situation dans cette zone de conflit et signaler tout événement suspect pouvant interférer avec la stabilité du gouvernement en place à l’époque.
Le 31 mars 1995, le Conseil de sécurité a décidé de restructurer la FORPRONU et de la remplacer par trois opérations de maintien de la paix distinctes mais reliées entre elles.
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